Marc-Antoine Parseval, mathématicien et théoricien français (décédé en 1836)
Marc-Antoine Parseval des Chênes (27 avril 1755 - 16 août 1836) était un mathématicien français, surtout connu pour ce qui est maintenant connu sous le nom de théorème de Parseval, qui présageait l'unitarité de la transformée de Fourier.
Il est né à Rosières-aux-Salines, en France, dans une famille aristocratique française, et a épousé Ursule Guerillot en 1795, mais a divorcé peu après. Monarchiste opposé à la Révolution française, emprisonné en 1792, Parseval fuit plus tard le pays pour avoir publié de la poésie critique du gouvernement de Napoléon.
Plus tard, il a été nommé cinq fois à l'Académie française des sciences, de 1796 à 1828, mais n'a jamais été élu. Ses seules publications mathématiques furent apparemment cinq articles, publiés en 1806 sous le titre Mémoires présentés à l'Institut des Sciences, Lettres et Arts, par divers savants, et lus dans ses assemblées. Sciences mathématiques et physiques. (Savants étrangers.) Celui-ci combinait les monographies antérieures suivantes :
"Mémoire sur la résolution des équations aux différences partielles linéaires du second ordre," (5 mai 1798).
"Mémoire sur les séries et sur l'intégration complète d'une équation aux différences partielles linéaires du second ordre, à coefficients constants," (5 avril 1799).
"Intégration générale et complète des équations de la propagation du son, l'air étant considéré avec ses trois dimensions," (5 juillet 1801).
« Intégration générale et complète de deux équations importantes dans la mécanique des fluides », (16 août 1803).
"Méthode générale pour sommer, par le moyen des intégrales définies, la suite donnée par le théorème de M. Lagrange, au moyen de laquelle il trouve une valeur qui satisfait à une équation algébrique ou transcendante" (7 mai 1804). dans le second 1799, mémoire dans lequel il énonce, mais ne prouve pas (prétendant qu'il va de soi), le théorème qui porte désormais son nom. Il l'a encore développé sur ses mémoires de 1801 et l'a utilisé pour résoudre diverses équations différentielles. Le théorème a été imprimé pour la première fois en 1800 dans le cadre (p. 377) du Traité des différences et des séries de Lacroix.