Une série d'explosions est signalée dans un dépôt de munitions à Brazzaville, la capitale de la République du Congo, tuant au moins 250 personnes.
Le 4 mars 2012, une série d'explosions s'est produite dans un dépôt d'armes de l'armée à Brazzaville, la capitale de la République du Congo. Au moins 300 personnes ont été tuées par les explosions. D'autres corps auraient été "introuvables". Parmi les morts figuraient six travailleurs chinois d'un chantier du Beijing Construction Engineering Group situé à proximité de l'arsenal. Le ministre de l'Intérieur, Raymond Mboulou, a déclaré que les hôpitaux voisins débordaient de blessés, de nombreux blessés gisant dans les couloirs en raison du manque d'espace. Le nombre total de blessés a dépassé 2 500. Plus de 121 000 personnes se sont retrouvées sans abri et 672 millions de dollars de dommages ont été causés. Un survivant a décrit l'événement comme ressemblant à "l'apocalypse" ; d'autres l'ont décrit comme "comme un tsunami" ou un "tremblement de terre".